Les statues meurent aussi
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Les Statues Meurent Aussi
Silver gelatin print by Diamantino Quintas, mounted with a passe-partout, hand-painted wooden frame, museum-grade glass (UV-protective and anti-reflective)
80 cm x 120 cm
Encadrement : 84 cm x 124 cm x 3,5 cm
Edition de 5 ex + 2 AP
Certificat d'authenticité
Disponible
© Marianne Maric

Les Statues Meurent Aussi
Silver gelatin print by Diamantino Quintas, mounted with a passe-partout, hand-painted wooden frame, museum-grade glass (UV-protective and anti-reflective)
24 cm x 36 cm
Encadrement : 44,5 cm x 36,5 cmx 3,5 cm
Edition de 5 ex + 2 AP
Certificat d'authenticité
Disponible
© Marianne Maric
Les Statues Meurent Aussi
Silver gelatin print by Diamantino Quintas, mounted with a passe-partout, hand-painted wooden frame, museum-grade glass (UV-protective and anti-reflective)
24 cm x 36 cm
Encadrement : 44,5 cm x 36,5 cmx 3,5 cm
Edition de 5 ex + 2 AP
Certificat d'authenticité
Disponible
© Marianne Maric

Les femmes fontaines
Silver gelatin print by Diamantino Quintas, mounted with a passe-partout, hand-painted wooden frame, museum-grade glass (UV-protective and anti-reflective)
24 cm x 36 cm
Encadrement : 44,5 cm x 36,5 cm x 3,5 cm
Edition de 5 ex + 2 AP
Certificat d'authenticité
Disponible
© Marianne Maric

Les Statues Meurent Aussi
Silver gelatin print by Diamantino Quintas, mounted with a passe-partout, hand-painted wooden frame, museum-grade glass (UV-protective and anti-reflective)
24 cm x 36 cm
Encadrement : 44,5 cm x 36,5 cmx 3,5 cm
Edition de 5 ex + 2 AP
Certificat d'authenticité
Disponible
© Marianne Maric
Marianne Maric détourne la célèbre phrase de Les statues meurent aussi pour en proposer une version inversée : ici, les statues renaissent. Ses photographies donnent à voir des femmes en interaction charnelle avec des sculptures de marbre ou de bronze, dans une mise en scène acrobatique et sensuelle. Cette réanimation du minéral par le vivant évoque l’agalmatophilie, fascination amoureuse pour les statues. Comme le souligne Laura Bossi, la passion esthétique peut glisser vers l’érotisme. En revisitant le mythe de Pygmalion, Maric brouille les frontières entre art et chair : ses modèles, figés par la pose photographique, deviennent à leur tour statues. Ainsi, elle interroge le statut du modèle : est-il simple objet du regard ou sujet à part entière ? Dans cette tension, Maric fait émerger une figure double, à la fois active et passive, désirée et désirante, qui vient défier la tradition du regard dans l’histoire de l’art.